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Mon Compost et moi
Sans doute êtes-vous déjà nombreux à posséder un composteur et êtes-vous devenus des "pros" du compostage. Cet article n’a donc pour but que de convaincre les derniers nonchalants à ne plus encombrer (...)

Les messages relatifs à cet article :

17 septembre 2008

(suite) Je n’arrose pas , je préfère retourner à grands coups de fourche les matières encore humides du dessous pour enterrer celles qui pourraient sécher sur le dessus.
C’est un travail très physique et ça vaut tous les instruments des salles de gym pour que la peau des bras reste (relativement ) ferme !
Bref, si vous n’avez pas encore de compost, faites en vite un , même sans fabrique ! bonheur assuré !


  • 17 septembre 2008

    La pluie se charge de mouiller un compost à l’air libre ; avec un couvecle, il faut arroser ! le couvercle permet aussi de mieux contrèler la fermentation et d’aller plus vite puisque l’ensemble reste humide.

    Mais nos prédecesseurs ont fait des composts et l’AgloO n’était pas là pour les y aider ! Il y a bien des moyens d’organiser les choses à sa manière et souvent de manière très satisfaisante, je suis là-dessus tout à fait d’accord avec toi.


17 septembre 2008

Bon alors, , je n’ai pas de cette fabrique superbe, octogonale et verte dans mon jardin, mais un grand coin derrière la cuve à mazout (autre fabrique de parc du XXI ème siècle ) mais je ne boude pas mon plaisir quand je recueille de l’or noir au bout de quelques mois de patience . Je ne suis pas non plus une puriste : les oiseaux viennent picorer le pain que je mets aussi, je retrouve les coquilles d’huîtres qu’on a dégusté à Noël et cet été, (tout un monde dans mon compost), les tomates mettent des graines partout (que je retrouve dans le sol quand j’épands le compost et qui prolifèrent là où elles sont tombées) L’année dernière , ce sont de belles salades qui ont germé sur le bord du bassin où j’avais épandu le compost.Je ne coupe pas tous les morceaux très courts, alors je passe le compost grossier dans un tamis que je mets en équilibre sur un morceau de bois dans la brouette (truc de jardinier malin pour ne pas porter le tamis à bout de bras).
<je n’arrose pas , je préfère retourner à grands coups de fourche les matières encore humides du dessous pour enterrer celles qui pourraient sécher sur le dessus.
C’est un travail très physique et ça vaut tous les instruments des salles de gym pour que la peau des bras reste (relativement ) ferme !
Bref, si vous n’avez pas encore de compost, faites en vite un , même sans fabrique ! bonheur assuré !


  • 17 septembre 2008

    Comme en toutes choses, à chacun son style. Les coquilles d’huître broyées peuvent apporter des nutriments au sol et alléger les terres lourdes, mais convenons que l’effet esthétique n’est pas terrible !


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