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Bonne fête à notre Saint Patron !
En fait, le patron des jardiniers s’appelait Fèvre et sa très belle histoire nous est contée sur le site de l’association des jardiniers du ministère de la culture. Il est aussi le patron des (...)

Les messages relatifs à cet article :

3 septembre 2007

Crois-tu que ce bon saint était misogyne ? Il voulait simplement protéger sa vertu ! On dit que le sillon était assez large pour qu’une femme ne put le franchir : c’est vrai qu’il aurait été révoltant, que des jouvencelles puissent aller batifoler dans son champ !


  • 3 septembre 2007

    Le dictionnaire de l’Académie répond en partie :
    Notre Saint Fiacre était un moine gyrovague et sa crainte de tomber dans les filets des belles l’ont fait au moins prudent. mais voilà ce que disent les autorités :

    " GYROVAGUE. s.m. Nom d’une espèce de Moines qui n’étoient attachés à aucune maison, & qui différant en ce point des Cénobites, erroient de Monastère en Monastère. La régularité des moeurs est peu compatible avec l’indépendance dans laquelle vivoient les Gyrovagues."

    Et puis , pour en savoir plus, entre légende de la méchante Becnaude qui , fâchée d’être tenue à l’écart du jardin, accuse le futur saint de sorcellerie et les difficultés des moines à garder un peu d’intimité dans leurs ermitages, tout cela est fort bien exposé dans l’article de WIKIPEDIA (mais à qui se fier ?)
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Fiacre...


    • 3 septembre 2007

      Donc, le saint jardinier en avait ras le capuchon de cette engence juponnée, qu’il ne connaissait que trop bien ( au sens biblique du terme...)et si je comprends bien, décida sur le tard de s’assagir.Belle résolution.
      La messe est dite.


      • 22 septembre 2007

        Je viens de rencontrer St Fiacre au détour d’une lecture sur Paris et voici la raison pour laquelle il est aussi le patron des chauffeurs de taxi :
        "Les fiacres que nos aïeux ont connus sont les prédécesseurs de nos taxis. C’était des voitures hippomobiles à quatre roues qu’on louait à la course ou à l’heure. L’entreprise fondée en 1640 garait ses véhicules dans une remise près de la rue St Antoine, à proximité d’un immeuble portant une enseigne du saint, car tout le secteur dépendait d’une ancienne confrérie de St Fiacre".


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