Les messages relatifs à cet article :

10 juin 2009

Mes souvenirs de la petite Blanquette sont un peu différents. Quand j’étais encore très petite, mes parents me lisaient "La petite chèvre de M. Seguin" dans un vieux petit classique tout jauni (et sans illustrations !). Lorsque la phrase fatidique _"Tout à coup le vent fraîchit. La montagne devint violette."_ était prononcée, je me mettais à pleurer à chaudes larmes et l’histoire s’arrêtait là ! Cette terrible phrase annonçait toute la suite que je ne connaissais que trop bien !

Ma maîtresse de CP s’appelait Mme Goussard... et elle nous faisait de très beaux dessins au tableau, qui restaient tout une semaine pour illustrer un thème d’étude, avec des craies de toutes les couleurs... et nous, on n’en avait pas d’aussi belles ! Et pourquoi que nous on n’en a pas des craies comme ça alors, c’est pas juste !

• 11 juin 2009
  

  Décidément, tout était bien petit à cette époque !

  
  

  • 16 juin 2009
    

    attention , les filles, le loup arrive masqué et n’est pas celui qu’on croit !

    
    

    • 18 juin 2009
      

      C’est vrai, tout le monde croit qu’il est noir de poils, mais on m’a dit qu’il y en avait des blonds aussi et qui ne font pas trop peur... et que même, quand on s’approche, ils ne montrent pas les crocs !

      
      

9 juin 2009

Quelle bouffée d’enfance tout à coup ! Je n’avais pas relu ce texte depuis fort longtemps et là tout revient ! C’est un des tout premiers textes en prose que nous avions appris dans la classe de cours primaire de mademoiselle Borel (vous vous rappelez vous aussi le nom de votre institutrice de CP, bien sûr !)
Je me suis beaucoup identifiée à cette belle petite chèvre qui trouvait qu’ailleurs, l’herbe était plus verte ! et... j’y suis allée voir . Là-bas comme elle, j’ai gambadé, combattu ...
Mais en le relisant encore , j’y vois encore une invite à créer un jardin extraordinaire ! genêt, campanules , digitales (j’ai tout cela dans mon jardin de curé !)
Je ne vous en dirai pas plus sinon que j’ai trouvé dans le Loiret et auprès des Jardingues ce que Du bellay se plaisait à dire :

Plus mon Loire Gaulois que le Tibre latin

Plus mon petit Liré que le mont Palatin,

Et plus que l’air marin la douceur angevine.

Si si ! je vous assure

• 9 juin 2009
  

  "Comme elle, j’ai gambadé, combattu..." : mais tu ne nous dis pas si tu as rencontré le loup...! enfin, tu en est revenue entière ! Quoi que... Un bon gros loup sans doute...

  
  

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